Des scientifiques (en blouse blanche) de l’Institut d’Etudes des Désordres de la Communication ont démontré que lorsque des musiciens de jazz s’engagent dans un processus d’improvisation, une grande partie de leur cerveau est complètement « éteinte » tandis qu’une autre, plus localisée, est très sollicitée.
En étudiant les flux sanguin cérébraux de pianistes de jazz – je présume que ça fonctionne de même avec des guitaristes – les scientifiques ont ainsi remarqué que certaines zones précises enregistrent une très forte activité (en rouge) tandis que d’autres sont totalement cloisonnées (en bleu). Voir schéma ci-joint.
Cette expérience a donc permis d’identifier la partie du cerveau responsable des processus hautement créatifs.
Via Music Thing via Scientific blogging
NDLR : Cette même étude sur des anciens de la Star Ac s’est révélée non concluante. Toute l’image était bleue inexplicablement.
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